Selon toute vraisemblance, l’Afro-Américaine Meghan Markle, l’épouse du Prince Harry de la famille royale, serait victime de racisme, forçant le couple à déserter la monarchie.
Bon, il n’est pas étonnant que l’eugénisme ait accompagné Meghan dans son aventure royale, car la Grande-Bretagne est reconnue pour son
racisme systémique.
Cependant, nous devons admettre que le Palais de Buckingham n’est pas le seul endroit au monde où les couples mixtes rencontrent des obstacles qui les empêchent de vivre dans le bonheur.
Ici même, au Québec, plusieurs hommes et femmes d’origine haïtienne vivant une idylle avec une personne blanche souffrent en silence, préférant, comme le dit le régionalisme d’une bonne partie d’Haîti, « mourir leur poule » devant le racisme.
Je tiens à préciser que ce texte n’est pas synonyme d’un Québec bashing, mais bien d’une dialectique nous permettant de mieux saisir l’exceptionalité des couples mixtes.
Continuons!
Durant les années 70 et 80, dans la Belle Province, beaucoup de nouveau-nés ont été abandonnés à cause de la couleur de leur peau. À cette époque, certains québécois considéraient les couples mixtes comme des « couples maudits », qui pourraient abâtardir les famille québécoises de souche.
Il y a quelques années, une amie métisse m’a avoué que sa grand-mère blanche l’appelait affectueusement ma petite négresse.
« Ma propre mère, qui est blanche, me traite de »plotte à nègre » en raison de mon penchant pour les hommes noirs », m’a tristement confié une autre femme métisse.
Ne s’agit-il pas là d’une négrification incohérente d’une ancienne amante d’hommes noirs?
Tout récemment, lors d’une discussion sur le racisme, un homme blanc – un Trifluvien – qui a épousé une femme noire s’est plaint du fait que ses parents n’aient jamais voulu prendre son enfant dans leurs bras…
Et finalement, un ami dont je tairai le nom, m’a admis que sa conjointe blanche ne se gêne pas pour comparer les Noirs aux chimpanzés lorsqu’elle est fâchée.
De ce fait, chers amis, si vous, un proche ou un-e ami-e avez connu le même sort que Meghan, je vous invite à participer à la conversation.
Selon toute vraisemblance, l’Afro-Américaine Meghan Markle, l’épouse du Prince Harry de la famille royale, serait victime de racisme, forçant le couple à déserter la monarchie.
Bon, il n’est pas étonnant que l’eugénisme ait accompagné Meghan dans son aventure royale, car la Grande-Bretagne est reconnue pour son
racisme systémique.
Cependant, nous devons admettre que le Palais de Buckingham n’est pas le seul endroit au monde où les couples mixtes rencontrent des obstacles qui les empêchent de vivre dans le bonheur.
Ici même, au Québec, plusieurs hommes et femmes d’origine haïtienne vivant une idylle avec une personne blanche souffrent en silence, préférant, comme le dit le régionalisme d’une bonne partie d’Haîti, « mourir leur poule » devant le racisme.
Je tiens à préciser que ce texte n’est pas synonyme d’un Québec bashing, mais bien d’une dialectique nous permettant de mieux saisir l’exceptionalité des couples mixtes.
Continuons!
Durant les années 70 et 80, dans la Belle Province, beaucoup de nouveau-nés ont été abandonnés à cause de la couleur de leur peau. À cette époque, certains québécois considéraient les couples mixtes comme des « couples maudits », qui pourraient abâtardir les famille québécoises de souche.
Il y a quelques années, une amie métisse m’a avoué que sa grand-mère blanche l’appelait affectueusement ma petite négresse.
« Ma propre mère, qui est blanche, me traite de »plotte à nègre » en raison de mon penchant pour les hommes noirs », m’a tristement confié une autre femme métisse.
Ne s’agit-il pas là d’une négrification incohérente d’une ancienne amante d’hommes noirs?
Tout récemment, lors d’une discussion sur le racisme, un homme blanc – un Trifluvien – qui a épousé une femme noire s’est plaint du fait que ses parents n’aient jamais voulu prendre son enfant dans leurs bras…
Et finalement, un ami dont je tairai le nom, m’a admis que sa conjointe blanche ne se gêne pas pour comparer les Noirs aux chimpanzés lorsqu’elle est fâchée.
De ce fait, chers amis, si vous, un proche ou un-e ami-e avez connu le même sort que Meghan, je vous invite à participer à la conversation.
Je vous invite à participer à la conversation en laissant un commentaire un peu plus bas sur le site. Merci.